Ophtalmologie


Sehtesttafel n. MONOYER

Monoyer Tafel
 

 

Ferdinand MONOYER (1836-1912) stammte aus Lyon und wurde 1863 "agrégé" der Physikalischen Fakultät der Universität Straßburg, 1872 wurde er an die Universität Nancy berufen. Sein Vorschlag der Standardisierung der Brechungsstärke von optischen Linsen, die DIOPTRIE, ist heute weltweiter Standard, ein Standard, der 1875 in Brüssel angenommen wurde.

 

1874 veröffentlichte er seine berühmte "Tafel" (Revue Médicale de l'Est 1874, Seite 346-392).

 

Überspringt man die erste Zeile mit den übergrossen Buchstaben Z und U und liest man die Endbuchstaben der Tabelle von Gross nach Klein, so ergibt sich der Vorname "Ferdinand", liest man in gleicher Weise die Anfangsbuchstaben, so ergibt sich der Familienname des Erfinders dieser Tafel MONOYER D(octeur) M(édecine). 

 

Exponat

Die Tafel stammt aus dem Nachlass des ab 1952 niedergelassenen stadtluxemburger Arztes Roger GLAESENER (1922-2006). Möglicherweise gehörte sie schon seinem Vater Camille GLAESENER (1877-1952), der ab 1922 in L.-Limpertsberg niedergelassenwar?

Sie war ein Werbeobjekt der 1870 gegründeten, in der Produktion optischer Geräte (Ophtalmometer, Dynamometer) spezialisierten Fa. Guilbert-Routit, die 1974 von Essilor geschluckt wurde.

"Louis-Jean-Baptiste Berthiot (°1807+1857) et son beau-père Pierre-Alexis Bourot (°1796+1851), tous deux opticiens à Paris originaires de province (le premier de Censerey en Côte-d'Or et le second de Sézanne où il avait été compagnon meunier de 1817 à 1820), ont commencé à surfacer du verre de lunettes minéral dans un moulin à eau situé à Verdey sur le Grand-Morin depuis au moins le mois de janvier 1838. Le verre semble acheté aux verreries de Souppes-sur-Loing, proche de Nemours. À la suite des plaintes des cultivateurs en raison de la pollution de la rivière, la fabrication est déplacée en 1846 au moulin Saint-Hubert aux abords ouest de Sézanne. L'affaire se développe fortement sous Alfred Berthiot (°1838+1870), la veuve de ce dernier Marie-Anne-Zulma François (°1840), le second époux de celle-ci monsieur Benoist, et enfin ses deux fils. Les deux frères ayant été tués durant la Grande Guerre, leurs veuves conservent un temps l'affaire avant de créer une SARL vers 1933 et s'en désengager. La famille Jolly en devient propriétaire jusqu'en 1974. L'entreprise est renommée par la grande technicité de ses produits. En 1940, une usine de repli est inutilement achetée en Dordogne. Au sortir de la guerre Maurice Jolly a l'intuition que la matière plastique représente une voie d'avenir. Les coûteuses recherches menées par un ingénieur lyonnais aboutiront trop tard. Les créanciers bancaires poussent à l'union avec le concurrent Seine-et-Marnais (fondé par des cousins des Berthiot en 1870): Guilbert-Routit".

 

"En 1870, la famille Mazeau achète le moulin à blé tournant à eau de Pongelot et y installe une activité de surfaçage de verres de lunettes minéraux, une activité déjà pratiqué à Sézanne. Le commerce d’optique va se développer au cours des années, survivre à 2 guerres mondiales et plusieurs crises économiques nationales. Au fil des ans, l’usine de Pongelot devient la SA Guilbert-Routit".