Chirurgie


Aderlass, weisser (2)

 

1891 führte Luxemburg 62 kg Spanische Fliegen AUS (!) (Memorial n°71 vom 30.12.1892). Wo diese Viecher herkamen, ist mir allerdings schleierhaft.

 

Früher wurden Zugsalben relativ häufig eingesetzt zum Ableiten von Kankheiten über die Haut. Hier ein Bericht über den Einsatz der Zugpflaster zu Beginn des 20. Jahrhunderts:

"Le médicament miracle qui se trouvait dans toutes les maisons c’était bien la toile souveraine, appelée aussi toile vésicante et topique dans une autre variété. Au village on l’appelait toile de curé parce que c’est un prêtre des environs qui l’avait inventée, mise en fabrication et en vente. Les médecins connaissaient cette toile, mais ils fermaient les yeux devant certains résultats probants. L’application était simple : après avoir légèrement chauffé le côté enduit d’une matière dont je ne connais plus la composition, pour la faire adhérer, on l’appliquait sur l’endroit douloureux ou infecté. Souvent épaisse et jaunâtre, parfois purulente, la sérosité expulsée entraînait les toxines de l’organisme qui était ainsi d’autant mieux désintoxiqué que l’élimination avait été plus abondante, le soulagement obtenu étant lui-même d’autant plus grand. Personnellement, au cours de mon adolescence j’ai obtenu la guérison d’une grosse infection par staphylocoque. Notre inventeur n’était pas apprécié des pharmaciens et la production dut être légalement suspendue. La composition du médicament était bien connue, mais il fallait le mettre en œuvre de bonne façon. Je crois savoir qu’une certaine personne a appliqué cette toile sur un sein gercé alors qu’elle allaitait encore son enfant …d’où complications bien prévisibles. Toile souveraine oui mais pas universelle et bonne à tout. En attendant, comme on dit, elle a été souvent efficace, d’un prix très abordable en ces temps sans sécurité sociale ni assurance"
(https://pagesperso-orange.fr/mdca/martin/chronique.htm).

 

 

Ein beliebtes Produkt im 19. Jahrhundert: das sog. Drouot'sche Pflaster, ein mit Kanthariden bereitetes, mild wirkendes Blasenpflaster, 1818 von dem Apotheker Théophile DROUOT aus Nancy angegeben:
"En 1818 , M. Drouot a publié une autre formule plus satisfaisante; elle se compose d'un mélange de teinture de garou et de teinture de cantharides, faites toutes deux avec l'éther acétique ; on fait dissoudre dans le mélange un peu de colophane , et on l'applique avec un pinceau sur un taffetas gommé. La bonté de la formule a été constatée par les rédacteurs du Journal de pharmacie; on aurait à lui reprocher seulement l'emploi de l'éther acétique , qui ne donne pas des résultats plus avantageux que l'éther sulfurique, et qui coûte beaucoup plus cher. J'en dirai autant de la formule qui consiste à dissoudre de la colophane dans l'éther acétique , et à mélanger de la poudre fine à cette teinture ; en outre, ce taffetas a un coup d'œil désagréable, qu'il doit à la poudre de cantharides qui est disséminée sur sa surface. La formule proposée par M. Deschamps est la suivante :

  • Cantharides en poudre........10 onces.
  • Euphorbe en poudre ............ 1 once.
  • Alcool à 35 .............................. 2 livres.
    Introduisez les matières dans un ballon, chauffez au bain-marie de manière à faire bouillir l'alcool , laissez refroidir ; décantez , filtrez , - ajoutez sur le marc ..."

    (https://books.google.de/books?id=NJt1NMg87zAC&pg=PA322&lpg=PA322&dq=drouot+cantharides&source=web&ots= b9crJfBCzt&sig=jjNhtk0gqWpCzGbPS3BqhQZXaHM&hl=de#PPA323,M1)


    Vorgestellt wird eine Originalpackung " Toile vésicante" des Apothekers Charles BUCHET & Cie. 7 rue de Jouy Paris. Zylinderförmige Kartondose mit Blechdeckel und -boden, Höhe 210 mm, Durchmesser 55 mm. Herkunft des Objektes: Chatel sur Moselle in Frankreich.

    Charles BUCHET (1843-1933).
    "Charles Buchet, pharmacist, worked nearly fifty years in " the Pharmacie centrale de France", of which he endly was Director and President during 35 years. In 1913, he conceived the project of a french society of history of pharmacy, which was achieved with the help of E.-H. Guitard and P. Dorveauz. He was the President of this Society from 1920 to 1928. He really was the "father of the SHP".